La solitude ? Non, pas cela. La nostalgie ? Oui, c’était bien ce que ressentait Astoria. Ses parents lui manquaient terriblement. Elle avait toujours eu une bonne entente avec eux, ainsi que Daphné. Elle ne pouvait le nier, son père et sa m ère tiennent à elles. Elle pensait encore à ce qu’il s’était passé pour en arriver là. Elle était dans les couloirs du Poudlard Express avec sa sœur et des amis à elle, dont son fiancé. Elle voulait juste être avec ses amis, mais sa sœur l’avait convaincue de passé son temps avec elle, car vu que c’est sa dernière année, l’on n’aura pas beaucoup de temps à passer ensemble, ce qui nous désolaient. Une fois devant le compartiment des Gryffondor, Draco ouvrit la porte à la volée. Surement histoire d’embêter Potter !

Après tout c’est enchaîné et nous nous sommes retrouvés ici. Lorsqu’Astoria apprit l’année dans laquelle ils étaient tombés, elle faillit s’étouffer. Cela voulait dire qu’elle devait avoir quarante-deux ans. Elle devait surement être mariée sauf si Draco ne voulait plus d’elle. Mais à y réfléchir, dans le cas où, elle aurait été mariée, elle devait bien avoir eu un fils ou une fille. Elle ne savait pas vraiment s’il aurait leur âge ou plus vieux, voir plus jeune encore, mais cela fit réfléchir la jeune Greengrass. Elle sortit alors de ses rêveries et regarda autour d’elle. Elle ne connaissait définitivement personne ici dans son dortoir. Ses camarades semblaient lui manquée, au moins il y avait de l’agitation.

Elle descendit alors du dortoir et se retrouva dans la salle commune. Elle regarda autour d’elle avant de ressortir. Elle ne trouvait pas Daphné ou encore quelqu’un qu’elle connaissait outre que les élèves … de cette époque. Elle avança dans le couloir du cachot évitant les élèves. Lorsqu’un élève la percuta, elle le regarda froidement. Puis continua son chemin pour enfin arriver dans le hall, bruyant comme d’habitude. Enfin peut-être plus que d’habitude. Elle remarqua alors une chose, des Serpentard qui « discutait » avec des Gryffondor ? Si c’était elle, elle se serait fait déshérité. Apparemment, même Potter et Weasley qu’elle remarqua de loin était étonné. Elle s’avança doucement vers la grande salle afin d’y prendre son déjeuné.

Elle se cogna alors à une personne devant elle, elle tomba alors en arrière. La personne devait être plus grande qu’elle et avec surement plus de force pour tenir debout. Elle émit un grognement de mécontentement. Elle se frotta alors le bas du dos et fit une moue, elle leva alors les yeux et croisa alors deux yeux gris. Elle bégaya alors :

- Heu … Dé… Déso… Désolée.

Elle ne su pas dire pourquoi mais rougissait, elle baissait alors les yeux. Ses cheveux lui retombèrent alors comme un rideau devant son visage. Tant mieux, elle pensait que cela lui cacherait alors ses joues rosies. Elle espérait que Draco n’ai rien remarqué.

Draco & Astoria ♥


CRÉDIT - CSS



Il était bien seul, et loin de son père ! C'était peut être le SEUL et unique point positif a ce bond dans le temps, parce qu'il n'y avait réellement que celui ci ! Oh oui, il était avec Astoria, Blaise et tous ses amis, jusque la c'était pas mal je vous l'accorde. Mais la ou le portrait parfait de ce merveilleux voyages, se brisait c'était que d'une il n'était absolument pas désiré, de deux il était avec les Bouf...Gryffondor pardon... Mais le PIRE DES PIRES C'était qu'il s'appelait maintenant Draco Loovers, mas qu'il avait une sœur sois disant petite soeur appelé Luna Loovers... Vous comprenez pas ? Lui le suprême Draco Malfoy sang pur de son état devait se faire passer pour le grand frère de Lufoca quelque-soit-son-nom, sang mêlée ! C'était le pire des déshonneur, et il avais pu hurler, tapé du pied, menacé et même supplié, rien ne changea. Luna et Draco étant blond tous les deux blond, (bien que elle moins blonde que lui et moins belle gosse) et donc ça avait sembler logique aux autres de les faire frères et soeurs !

Tout ça pour dire qu'outre le fait que Luna se croyait réellement sa soeur et que dès qu'elle pouvais elle l'appelait grand frère rêveusement, et qu'il devait se tapé la tronche de Potter assez régulièrement ... non TROP régulièrement. Les autres arrivaient a discuté mais pas lui, non non non non, jamais il ne parlerais "courtoisement" avec cette bande de crétins qui l'avaient envoyer ici.

Il se leva de sa fenêtre ou il se reposait et réfléchissait pour aller faire un tours c'est la qu'on lui rentra dedans, ravivant ses blessures dues a la tortures de son père. Il reconnu la voix de la jeune Astoria et il lui sourit presque spontanément, au moins dans le futur il n'avais plus a ce soucier de son apparence de toute façon il ne fallait pas qu'il se montre trop froid. Pour ne pas attiré les regards sur lui

- Astoria ! Ce n'est pas grave rassure toi, j'ai de moins en moins mal de toute façon, comment te sent tu ?

Elle avait la tête baisser et ses cheveux sur le visage, il ricana, elle se montrait tellement timide parfois, il lui remis une mèches derrière l'oreille. Elle était sa fiancée après tout il avait le droit... Une pensée sur son futur lui, lui parvins. était-il marié a Astoria, avait il des enfants avec Astoria ...?Sincèrement il priait de toute ses forces pour que oui ce soit le cas

Ce fut pour elle une bonne chose, elle était avec sa sœur et surtout Draco. Elle releva les yeux au moment, où il s’abaissa pour lui remettre une mèche de cheveux, elle lui sourit alors. Elle se releva alors et regarda autour d’elle avant de reporter son regard sur Draco. Elle s’excusa juste auprès de lui. Il lui expliqua que ce n’était pas grave que tout allait bien. Il dit alors qu’il avait moins mal. Ses blessures … Les blessures qu’Astoria tente de faire disparaître, le mal de Draco. Elle n’était pas sûre que Draco dise la vérité ou non, elle relevait une main et la posa doucement sur le chemisier de Draco au niveau du torse. Il lui demanda alors si elle allait bien. Que répondre à cela ? Elle allait bien, oui et non.

Elle ne savait comment se l’expliquer, mais d’un côté, elle allait bien, mais de l’autre la nostalgie la tiraillait et savoir si Draco et elle s’était marié ou non, commençait à s’immiscer dans son esprit. Elle releva alors son regard et plongea son regard noisette dans celui gris-bleu de Draco, elle lui sourit alors. Autant lui dire qu’elle irait bien. Elle ne voulait pas l’inquiéter, il a d’autres pré-occupations surement plus importantes. Ce qui était normal. Elle savait pertinemment qu’elle avait été imposée à Draco. Elle n’allait pas le nié, et ce même si elle l’aimait, il avait déjà tant donné pour elle. Il n’était pas obligé d’avoir un geste tendre avec elle, pourtant il le faisait. Elle ne savait pas pourquoi il se forçait, même ici.

- Je vais parfaitement bien. Et toi Draco ? Es-tu sûr que tu vas bien ? Même pour cela ?

Elle glissa sa main le long du torse de Draco avant de la laisser retomber à côté d’elle. Elle le regardait toujours dans les yeux. Il devait avoir compris de quoi elle parlait. Ses blessures … Elle s’inquiétait vraiment pour Draco. Elle ne s’était rendit compte de cela que lorsqu’elle avait vu ses blessures pour la première fois, malgré tout Draco n’avait pas voulu s’expliquer clairement à ce sujet. Elle s’était dit qu’un jour, il lui dirait de par lui-même.

Il la regarda et replaça une mèche de la jeune femme derrière ses oreilles, et il la regarda dans les yeux et son regard ne pu que se faire joyeux.... Bizarrement Draco se mit a divagué, il se pris a imaginé leurs vies dans cette époques, étaient-ils mariés ? Avaient-ils des enfants ? Si oui a quoi pouvaient-ils ressemblés ? Avait-il été comme son père ? ça c'était peut être la seule et unique question a la quel il avait une réponse, cette réponse était : NOOOOOOOOOOOOOOOOON ! Jamais il n'aurais pu être comme son père avec ses enfants, surtout si c'était les enfants d'Astoria ...

Un sourire léger apparut sur ses lèvres, bien sur qu'il ne serrais pas comme son père, il avais trop souffert pour le faire subir a ses enfants... Tien d'ailleurs a ce moment précis il se fit un petit montage dans sa tête, il imagina un garçon de presque leurs âges, avec des cheveux blond platine et de grand yeux noisettes comme ceux d'Astoria. Souriant franchement pas comme un Malfoy mais comme un enfant Normal, de sang pur mais Normal...

La voix de la jeune femme et sa main sur son torse lui firent revenir a la réalité et il secoua la tête

- Oui rassure toi je vais on ne peut mieux , j'ai encore un peu mal par endroit quand je fait un peu trop de geste brusque sinon ça vas rassure toi

Puis il réfléchit, elle l'avais soigné sans savoir de quoi il retourna et si elle allait être mariée avec lui ... et bah il se devait de lui dire... au moins pour cette fois la

- Je suppose que je te dois des explication hein ?

Il sembla vouloir perdu dans ses pensées, Astoria en profita pour le regarder. Elle l’aimait tant, mais lui dire reviendrait peut-être à tout abandonner. Ses rêves, sa liberté … Elle ne veut pas les perdre et pourtant elle aimerait tant lui dire. Peut-être un jour, qui sait. Seul Merlin le savait, elle ne su dire si elle devait le lui dire ou non, mais elle le dira un jour viendra où elle lui dira. Elle le sait et le sent. Elle continue de le regarder, lorsqu’elle mit une main sur son torse, il la regarda alors. Il lui répondit que tout allait bien. Tout vas toujours bien, n’est-ce pas Draco, aurait-elle voulu lui dire. Elle préféra cependant s’abstenir. Elle voulait le laisser continuer. La main d’Astoria se laissa tomber. Draco la regarda et lui dit alors qu’il lui devait une explication.

Astoria aurait tant voulu savoir. Comment il était dans cet état ? Pourquoi ? Mais surtout par qui ? Son père n’a rien dit quant à son état. Astoria se rappelle avoir été dans le bureau de son père après avoir soigné les blessures de Draco. Elle se rappelle lui avoir demandé s’il était au courant de quelques choses, il n’a rien dit. Lucius n’a rien dit en emmenant Draco chez elle et son père ne savait pas ou plutôt ne disait rien. Comment cela se faisait-il ? Son père savait-il quelques choses ? Elle n’avait su répondre à ces questions. Elle ne voulait rien dire à sa sœur, cela ne la concernait pas d’après elle, c’était bien la seule chose qu’elle ne voulait pas lui dire. Sa mère lui avait juste sourit tristement avant de rejoindre son père. Elle n’avait pas comprit. Alors oui, elle voulait une explication.

- Oui Draco, j’aimerais comprendre ce qui t’es arrivé. Si je peux t’aider qui plus est, je le ferais du mieux que je peux.

Elle le regarda et lui sourit alors timidement. Elle continua de le regarder attendant une réponse. Si de sa petite personne, elle pouvait faire quelques choses pour lui, elle le ferait sans hésiter. Elle serait prête à tout. Elle voulait juste faire quelques choses pour l’aider, pour lui.

Bien entendu elle accepta, et il lui sourit en lui prenant une main d'un air décidé

- Viens on vas au calme, la ou personne ne pourra nous entendre, ici je suis Draco Loovers, sang mêlé et .. Tu-Sais-Qui en lui même n'existe plus donc ... cette conversation na pas "lieu d'être"

Il lui pris la mains et l'emmena au loin, dans un coin reculé du Parc de Poudlard, la ou il était sur de ne pas avoir d'oreilles indiscrète et encore moi d'oreilles indiscrète, accrocher a des corps de Bouffondors !!! Il la fit s'assoir et s'installa a coté d'elle en grimaçant légèrement, il était fort, il devais être fort pour elle. Il posa sa tête sur l'épaule de la jeune femme et se mit a narrer

- L'an passer tu a du le remarquer, j'étais plus solitaire que les autres années .. En fait, pour redoré l'image de ma famille, Tu-Sais-Qui, ma donner un mission ...Tuer Dumbledore sauf que j'en est pas été capable... J'arrive pas a tuer quelqu'un, j'estime que même ... même si c'est un vieux fou fan de bonbon au citron ... S'il est sur cette planète c'est que les dieux on jugé de son utilité, pareil pour les Weasley ... je suis tellement lâche que je ne peut pas tuer un vielle homme Astoria, j'ai essayer pourtant... je les désarmés, je pouvais le tuer j'aurais DU le tuer ... mais je les pas fait ... La suite tu la connais c'est mon parrain qui a tuer ce vieux fou .... mais pas moi. , il marqua une pause et respira il ne voulais pas qu'elle parte a cause de sa lâcheté c'est pour ça qu'il lui captura la main, ça et peut être pour se donner du courage, Tu n'est pas sans avoir lu les journeaux au début des vacances, mon père a été libéré, et apprenant que j'avais échoué lamentablement, il est monté directement dans ma chambre et ma demander furieux "Daphné ou Astoria Greengrass ?" J'ai pas réfléchit absolument pas j'ai répondu ton prénom sans comprendre il m'a dit que c'était la dernière fleure qu'il m'accordait parce que je suis un lâche et un traite.... Parce que j'ai échouer durant tout le restant de la journée et jusqu'à ce qu'il m'amène chez toi, il m'a torturer. A coup de sort,, de doloris, de sectusempra, de difindo... même a la barbare, comme un moldu, il as cassé chacun des os de mon bras tout seul avec ses propres mains ... Il était fou de rage ... je sais plus trop après ... je me suis réveiller dans ta chambre d'amie tu était la devant moi, .... tu tes enfuies j'ai pas compris, je ne sais même pas comment je suis arriver chez toi, je me suis rendormit comme une masse a mon deuxième tu étais là et tu ma expliquer qu'on était ... "promis" ... Je m'en veux Astoria ... tout ça ne serais pas arriver si je n'avais pas été un lâche de service ... Pardon ... dès que je peut je fait annulé ce mariage, mais sache que si j'ai dit ton prénom c'est que .... tu compte ... beaucoup pour moi ...

Il lâcha la main de la jeune femme et tenta de décollé sa tête de l'épaule si moelleuse de la jolie jeune fille .... Mais il n'y parvins pas, parce qu'avec toute la volonté du monde jamais il n'aurais voulu se détacher d'elle, Tandis qu'il parlait des larmes roulaient sur ses joues il s'en voulait terriblement. il n'avais jamais voulut LE rejoindre et pourtant

- Je tenais as te le dire ...tu mérite mieux qu'un lâche comme moi ....

Astoria attendit réponse de la part de Draco. Ce dernier prit alors la main d’Astoria tout en lui disant qu’il préférait dire sa réponse dans un calme et sans oreille indiscrète. Astoria comprit que c’était sérieux, elle acquiesça. Que faire d’autres, autant ne pas décourager Draco, cela doit être très important, aussi bien pour lui que pour Astoria. Elle le suivit sans restriction de sa part. Dans un silence complet. Une fois arrivé dans un coin du Parc de Poudlard assez reculé et où aucun élève ne circulait, Draco et Astoria s’installèrent dans le calme. Draco posa sa tête sur l’épaule d’Astoria, celle-ci ne prononça aucun mot, elle regardait les herbes et le doux vent s’immiscer entre les branches.

Draco commença alors son récit. Astoria était attentive à ce qu’il disait, sa voix, son ton … Elle se rappelait de l’an passé. Daphné c’était même plaint que son ami n’était plus avec eux et ne s’amusait plus. Leur père leur avait dit de ne pas s’en mêlé. Elles n’avaient plus rien dit à ce sujet. Une mission ? Tuer Dumbledore ? Mais c’est Rogue qui a tué Dumbledore. Les Weasley indispensable à la vie ? Peut-être, après tout, il y a toujours une personne pour quelqu’un, peut-être que eux aussi. Astoria balaya mentalement cet idée. C’est alors qu’en y repensant elle tiqua. Lui lâche parce qu’il n’a pas voulu tuer Dumbledore ? Non, il n’est tout simplement pas un meurtrier… Elle n’eue pas le temps de rajouter quoi que ce soit que Draco poursuivit.

Les journaux, bien sûr la nouvelle de la libération de Lucius avait fait plaisir au père d’Astoria qui était ami avec ce dernier. Comment cela Daphné ou Astoria ? Astoria regardait alors Draco du coin de l’œil. Attends un peu, il veut dire que en fait il avait choisit Astoria. Astoria sentit alors une chaleur dans son ventre, elle regarda à nouveau devant elle. Alors comme cela elle avait été choisie par Draco et non choisie par le père de ce dernier ? Cela mit du baume au cœur à Astoria. Soudain la discussion prit une tournure plus noire. Astoria trembla légèrement en entendant ce que Draco avait vécu. Elle ne savait pas comment faire, ce n’était pas à elle de tremblé, mais comment imaginé un père faire autant de mal à son propre enfant ? Même Astoria n’avait vécu cela avec son père. Elle se dit alors que Draco doit la trouver bien ridicule en fin de compte.

Il lui expliqua alors comment il avait vécu l’histoire qui c’était passé au manoir Greengrass. Elle se souvenait que son père lui avait dit que Draco et elle étaient fiancés. Elle avait juste dit un simple « Bien père ». Son père lui avait demandé si elle était heureuse de la nouvelle. Elle lui avait dit « Je ne sais pas, père ». A vrai dire, elle ne connaissait pas Draco. Elle le trouvait charmant et très beau, mais jamais elle n’aurait pensé être fiancée avec lui. Elle avait alors été voir sa sœur discutant avec elle. Sa sœur l’avait convaincue et elle s’était fait une raison. Elle a voulu aller voir son « fiancé ». Elle est entrée dans la chambre après avoir frappé à la porte et la vu en sang. Elle est repartie chercher de quoi le soigné et est à nouveau retournée dans la chambre afin de soigner Draco. Elle était restée près de lui. Lorsqu’il s’est enfin réveillé, ils ont discuté. C’est après qu’il s’est passé quelque chose, qu’Astoria n’a dit à personne, mais elle est tombée éperdument amoureuse de Draco.

Alors qu’elle était dans ses pensées, Draco prononça à nouveau des mots qui firent l’effet d’une bombe sur Astoria. Il voulait renoncer aux fiançailles… Comment … ? Il tenait à Astoria, mais voulait annuler… Astoria le poussa alors et le regarda énervée. Si elle pouvait être une furie, elle le serait, mais quel idiot !

- Crétin finis ! Tu n’es pas un lâche, tu n’es juste pas un meurtrier ! Et … et … Annuler pourquoi ? Je t’aime moi, idiot ! Ce que je mérite c’est toi et juste toi. Je peux moi aussi être une lâche sais-tu ? Je ne savais pas comment te le dire. Ce que tu as vécu est horrible certes, mais maintenant je suis là, je serais toujours là pour toi, Draco. Quoi que tu fasses, que tu le veuille ou non, mais je t’en prie ne m’abandonne pas parce que tu crois que tu ne me mérite pas. Je t’aime moi …

Elle ne savait plus quoi dire, elle avait pleuré en disant ces mots avec des légers trémolos dans la voix. Sa voix s’était éteinte sur ses dernières paroles que dire de plus ? Que dire de moins ? Rien.

Il attendait sa réaction le souffle court et les yeux baignés de larmes, c'était déjà énorme pour lui d'avoir déjà eu le courage de parlé mais le silence de la jeune femme l'inquiétait, et si elle le repoussait pour s'être dévoilé ? ... Et si elle le repoussait pour avoir osé divulguer ses sentiments ? Son cœur manqua un battement, il savais que si elle le repoussait maintenant il n'y survivrais pas ...

Et si elle le repoussait pour l'avoir contrainte a se marié avec lui ? Avec le lâche qu'il est ...Bien entendu elle le repoussa, il la comprenant que trop bien ... Il aurais fait pareil, par contre les paroles de la jeune femme le calma et le rassura complètement, ses larmes se séchèrent automatiquement. Et ce fut a son tours a elle de pleuré... Il se releva légèrement en grimaçant de douleur, puis a l'aide de son pouce et essuya tendrement les joues de sa fiancée .

- Je ne te permet pas de m'insulter... Le crétin finis c'est Weasley.... Jure moi que tu sera toujours la pour moi mon ange, je t'aime également depuis tellement de temps que je ne pourrais même pas de dire quand ...Je t'es choisit, oui et maintenant que je sais que toi aussi, crois moi je ne vais pas te lâché ma belle,tu est propriété de Draco Malfoy ! Et ça, c'est la preuve que tu m'appartient...

Il se pencha vers elle et déposa ses lèvres sur celles d'Astoria dans un geste tendre, il lui caressa encore plus la joue et remonta cette fois, la mains complètement a plat cette fois et il lui passa sa main dans ses cheveux, il en rêvait depuis tant de temps.

- Je suppose que l'on annule pas le mariage ? Et je tien a dire, que si on a un enfant, il s'appèlera Scorpius Hyperion Malfoy ce n'est pas négociable ...

C'était sur le ton de la plaisanterie bien entendu, mais il était sérieux il avais toujours rêvé d'avoir un fils appelé comme ça. Il lui sourit et l'embrassa a nouveau tentant cette fois d'approfondir

Elle l’avait poussé pour lui dire en face sa façon de penser. Comment cela annuler le mariage ? Et les fiançailles ? Ah que non, Astoria ne voulait pas, elle l’aimait bien trop pour cela et puis avec ce qu’il s’est passé entre eux après l’avoir soigné non ! Astoria lui avait dit tout ce qu’elle pensait. Elle se mordit la lèvre inférieure tout en pleurant, elle lui avait même dit qu’elle l’aimait. Elle avait remarqué que Draco avait pleuré du aux larmes sécher sur ses joues. Elle baissa alors la tête, de honte. Elle n’osait plus vraiment le regarder en face, elle était peut-être égoïste c’est vrai. Il l’aimait peut-être, mais peut-être pas au point de se marié avec elle.

Elle l’entendit grogner de douleur, elle releva la tête et le regarda. Elle sentit alors le pouce de Draco glisser tendrement sur sa joue, elle ferma alors les yeux. Il lui dit alors qu’il l’interdisait de l’insulter, car c’était Weasley le crétin fini. Elle sourit, un rire se fit presque entendre, léger et doux comme des clochettes. Il lui demanda de lui faire une promesse, celle de toujours rester près de lui. Oui, elle le promit intérieurement, elle le jura même. Elle l’aimait tant, elle ne voulait le voir pleuré sous aucun prétexte. Elle n’aimait pas le voir ainsi, c’était si rare de voir un homme pleuré, mais à la fois si triste. Elle ouvrit alors les yeux plongeant ses prunelles noisette dans celles orage de Draco. Elle rit à nouveau lorsqu’elle entendit Draco dire qu’elle était sa propriété.

- Draco, je te le promets, sur mon honneur de Greengrass, de te chérir, de t’aimer ainsi que de toujours être là pour toi, de rester près de toi. Je t’aime plus que tout. Et si moi je suis ta propriété, pour ta gouverne, je en veux voir aucune fille t’approcher ou te faire les yeux doux, si Pansy essaye, je ne jurerais pas de mes actes. D’ailleurs quelques soit la fille en question.

Elle lui sourit esquissant un léger rire. Elle le regarda et le vit se pencher vers elle. Elle referma les yeux afin de recevoir le doux baiser de Draco. Elle aimait tant Draco, mais des fois avait peur de ne pas le montrer assez. Mais au fond, c’est surtout qu’elle a peur de trop lui montré et qu’il ne finisse pas se lassée d’elle un peu comme avec Parkinson. Bien qu’elle n’a jamais vraiment su leur relation, mais elle n’a jamais voulu savoir non plus. Elle se rappelait que lors de sa première année, elle avait toujours été attiré par lui, mais n’avait jamais osé l’avouer. C’est lors de sa troisième qu’elle avait abandonné tout espoir lorsqu’il a été au bal avec Pansy.

Il lui demanda s’il ne fallait donc pas annuler le mariage, bien sur que non ! Astoria en ferait une crise cardiaque ! Il lui disait alors que s’ils avaient un fils, il s’appellerait Scorpius Hyperion. Scorpius c’est mignon cela ! Elle se souvenait d’un Scorpius dans son année, dans cette époque du moins. Elle avait trouvé le prénom assez mignon. Le jeune homme en lui-même était mignon, bien qu’elle ne l’ai vu que de loin, mais elle avait supposé que jamais il n’arrivera à la cheville de Draco. Son cœur était pris et le restera.

- Sauf si tu veux me voir comme une jeune femme esseulée ou en désespoir ! Ah et pour un enfant si c’est une fille, je la vois mal porter le prénom de Scorpius, sinon j’aime bien les deux prénoms, je n’ai aucune objection !

Elle savait qu’il plaisantait, mais même. Tout de même pas … Il passa sa main dans la chevelure d’Astoria et se pencha pour embrasser Astoria. Ils approfondirent le baiser. Astoria avait l’impression d’être comme d’un rêve comme emporter par le désir de ses sentiments. Elle l’aimait tant …

Il éclata de rire devant l'air farouche de la jeune femme, il fut sur a ce moment que plus aucune fille ne se sortirait vivante après l'avoir un peu trop approcher

- On aurais presque dit un serments de mariage jusqu'à ce que tu parle de tapé toutes les filles qui oseront s'approché de moi, Mais, je dois avouer que ça marche dans les deux sens, le moindre regard de travers de la part d'un garçon, compte sur moi, pour aller le tapé et lui faire prendre la raclée de sa vie, y'a que Potter qui arrive a survivre a mes coups de points ! Tu est a MOI, tu est MA fiancée, la mère de MES enfants !

Et il l'embrassa encore une fois, il allait vite devenir accrocs au lèvres douce et tentatrice de la jeune femme, il adorais ça ! A longueur de journée il pourrais l'embrassé il en était sur.Puis le sujet se fit plus leger et il partir même sur le nom de leurs futurs enfants

- Ecoute on fait un marché, tu choisit le nom de nos filles et moi de nos garçons ok ? De toute façon je suis pas idiot Scorpius Hyperion Draco Andromede pour une fille ça le fait pas ... Par contre j'aimerais bien qu'une de nos filles... si on en as, porte le nom de ma tante Andromeda. Pour faire comprendre par ce prénom qu'importe le chemin qu'elle prendra, ou qu'il prendra, parce que je compte bien donner le nom d'Andromede à un de mes fils, que quoi qu'ils fassent, quoi qu'ils aiment que ce soit Sang de Bourbe ou Sang pur je les aimeraient quand même ... Car ce sont les enfants que toi, l'amour de ma vie tu ma donner

Il lui adressa un sourire, oui il voulais qu'au moins une de ses filles et un de ses garçons portent le nom de leur grande tante paria Andromeda .... Tronkus ... non... Toks... TONKS voila ! Pour leur montré l'amour qu'il leurs portent déjà. Il se remit a l'embrassé s'arracha parfois quelque petite plainte de douleur lorsqu'il se penchait trop. Il maudit son père comme jamais ..

Elle l’entendit alors éclaté de rire. Non mais ! Elle disait vrai ! Personne n’approchera Draco. Du moins dans la gente féminine qui aurait un regard des plus explicites. Lorsqu’il lui parla de serment de mariage, elle rougit alors. Mais, mais, jamais ! Pas de suite du moins. En tout cas, si Draco défie tous les hommes qui oseront s’approcher d’elle cela risque d’être amusant à voir. Elle ne l’avait jamais vu jaloux tiens ! Elle voulait le voir. Pourquoi pas le tenter … Non, car elle est sur qu’il n’est pas si jaloux que cela. Ce qui est un peu désolant par ailleurs… Potter survivre aux coups de poing de Draco ? Il l’a déjà frappé ? Elle ne s’en souvenait pas, par contre elle avait entendue parler de la gifle monumentale de Granger. Il disait alors qu’elle était la mère de ses enfants, mais pas encore.

- Je ne savais pas que tu avais déjà frappé Potter. Par contre, je sais que Granger t’a déjà frappé. Cela avait fait le tour de Poudlard presque. Quant à la mère de tes enfants, plus tard, je ne suis pas encore maman.

Elle rigola légèrement. Elle lui sourit et il l’embrassa tendrement. Elle lui parla alors des enfants, il lui fit faire un marché, elle pouvait choisir les prénoms des filles mais pas des garçons car c’était lui. Elle fut étonnée, elle qui croyait que Draco ne voulait qu’un enfant, elle rêvait alors à tous ceux qu’elle pourrait avoir. Elle en voulait plein, surtout si c’était avec Draco, elle ne savait pas le nombre fixe, mais elle en voulait. Si c’était de Draco cela ne pourrait être que de bons et beaux enfants. Par contre, elle ne voulait pas se faire appelé Mère ou que Draco se fasse appelé Père …

- Maman… Je veux que nos enfants nous appellent papa et maman. Qu’ils soient entouré ou non de la bonne bourgeoisie ou encore des gens tout simplement. J’ai toujours rêvé d’appeler mes parents papa et maman. Je suis sûre qu’il ne m’aurait pas punit, mais j’en ai toujours rêvée.

Elle regarda alors le sol puis regarda Draco. Il lui sourit alors et Astoria loupa un battement. Elle lui sourit à son tour. Il l’embrassa de nouveau. Astoria se laissa faire de plaisir. Elle l’aimait tant. Soudain, elle entendit un petit râle. Une douleur ? Elle en entendit un second. Il avait réellement mal. Elle le poussa légèrement et fouilla alors dans la poche de sa cape des Serpentard. Elle en sortit une petite boite.

- J’ai eu de la chance que le jour où on a été envoyé ici, j’avais ceci dans ma cape. Au moins, j’étais sûre qu’il me servira. Allais enlève moi tout cela.

Elle lui montra ses vêtements qu’il portait. Elle retira doucement le petit couvercle et attendit.

- Si si, je te jure, je lui est foutue la raclée et pi je lui est tellement fait de sale coup que ça compte pour ... Raaah me rappel pas le coup de point de cet hermaphrodite de sang de bourbe ! Je te jure elle cogne comme un mec, rien que d'y pensé j'en est encore mal.. Et oui c'est vrais tu n'es pas encore maman et je ne suis pas encore papa...

Et pourtant, ils parlèrent du nom de leurs enfants, de comment ils voulaient les appelés, car oui Draco en voulait plusieurs au moins une petite fille et un petit garçon, une petite fille qui ressemblerais a Astoria,... Oh oui une petite blonde au grand yeux noisettes qui courrait en l'appelant "papa" partout.... Un sourire a cette image, apparut sur son visage. Par contre jamais il n'oserais dire a Astoria Sang Pur de son état, qu'il aimerais que ses enfants l'appel papa, que ses enfants lui disent une phrase qu'il n'a jamais eu le droit de dire "je t'aime papa, dit tu m'aime toi ?" Il l'entendait déjà... la jeune femme le coupais. Il lui adressa un magnifique sourire

- Je suis complètement d'accord avec toi, j'ai pris ma première raclée de la part de mon père parce que j'ai dit "papa" a mon père ... et Depuis je rêve d'entendre un de mes enfants me dire spontanément "papa je t'aime"... J'aurais jamais osé te le dire, tu fait partit de la bourgeoisie et je pensais que .... enfin tu vois ? Que tu aurais aimé te faire appeler "mère" et te faire vouvoyez par nos enfant ...

Un râle de douleur s'échappa de ses lèvres et elle sortit une boite il la regarda un peu déstabilisé... il regarda autours d'eux et il retira son haut se retrouvant torse nue devant elle, mais ce n'étais pas la première fois qu'il se retrouvais comme a devant elle . Son torse était encore maqué, autours de son torse un bandage qui fut une époque devait être blanc mais la il y avais une énorme tache rouge signe que sa plus grosse blessure s'était rouvert.

- Merci, de me soigné je suis pas capable de le faire moi même ...

La jeune femme l’écouta alors parler de la raclée qu’il a faite à Potter. Elle esquissa un petit rire. Soudain lorsqu’elle lui rappela la gifle de Granger, Draco parut se reprendre et lui demander de ne plus en parler. Astoria le regarda alors étonnée. Ne pas lui rappelez, n’est-ce pas ? C’était tentant. Elle lui sourit alors de manière amusée. Il confirma le fait qu’ils n’étaient pas encore parents. Astoria adorait rêver, mais savait qu’elle ne serait pas encore prête à tout cela. Elle regarda alors Draco et lui dit alors ce qu’elle avait toujours rêvé. Que ses enfants l’appelle maman et pour Draco, papa. Ce serait si mignon au fond. Elle le voulait plus que n’importe quoi d’autre.

Elle était ravie que Draco soit d’accord avec elle. Elle sourit de façon plus que joyeuse, c’était formidable. Elle ferma alors les yeux et imagina son enfant l’appelé maman. Elle imagina un grand manoir, un peu comme celui de ses parents, si ce n’est que la joie et la gaieté en feraient partie. Elle imagina leurs enfants joués et rigolés. C’est lorsque Draco lui dit alors que sa première raclée était due au fait qu’il l’avait appelé papa, elle le regarda effarée. Elle s’était demandé comment cela se fait qu’un homme comme Lucius pouvait frapper son propre enfant. Même le père d’Astoria n’avait jamais levé la main sur elle ou Daphné. Elle était plus que désolée pour Draco. Elle était peut-être un peu trop égoïste. Au fond, la personne qui ne méritait pas l’autre c’était bien Astoria. Toujours là à rêver sans jamais se rendre compte du mal que les gens avaient. C’était bien pour cela qu’elle voulait vraiment faire quelques choses pour Draco.

Lorsqu’il échapa un râle, elle sortit une petite boîte et demanda à Draco d’enlever son haut. Il le fit. Il la remercia disant qu’il ne savait pas se soigné tout seul. Elle le regarda alors et voyait le bandage imbibée de sang. Elle se redressa alors, elle retira alors le bandage de Draco. Elle retira alors sa cape de Poudlard et la déposa sur le sol. Elle poussa doucement Drago sur le dos afin d’avoir plus facile à le soigné. Elle prit alors la pommade orangée qu’elle avait et en mit légèrement sur les blessures de Draco.

- Cela risque de piquer un peu. Ce n’est pas aussi puissant que la potion pour les grosses écorchures, mais c’est efficace. Je t’en mettrais assez régulièrement et te referai un bandage correcte, je pense que je peux encore chaparder du bandage dans l’infirmerie en passant inaperçue.

Elle frotta doucement les plaies ouvertes de Draco. Elle ne su dire à quel point, mais savait qu’il devait affreusement souffrir. Elle n’aimait pas le voir dans cet état. Si son père le frappait que faisait sa mère ? Il semblait à Astoria que sa mère gâtait Draco. Toutes les fois où elle l’a vu recevoir des friandises à Poudlard. Et voir Draco heureux se vantant que sa mère lui achetait encore des bonbons. Elle tenta alors de demander d’une petite voix presque avec timidité. Elle savait que s’il ne voulait pas répondre il ne le fera pas.

- Dis Draco, tu n’es pas obligé de répondre, mais ta mère est au courant de … tes blessures ?

Elle ne voulait pas dire la phrase « que ton père te bat ». Elle ne voulait pas remuer le couteau trop fort dans la plaie. Après avoir étaler la pommade, elle prit dans l’autre poche de sa cape, une petite bande. Il fallait pourtant qu’elle s’arrange pour trouver les ingrédients de la pommade et peut-être aller voir à la bibliothèque une potion plus forte pour qu’il soit guérit. Après pour la fabriqué, étant Serpentard, un petit tour dans l’armoire personnel du professeur de potion ne devrait pas être compliqué. Et puis pour Draco, elle accepterait toutes les reproches, ce n’était pas un problème. Astoria n’était pas du genre à faire des bêtises, mais elle préférait cela que de voir Draco blessé et surtout souffrir.

Il se retrouva allonger sur la cape de la jeune femme a même le sol dans un coin paumé du parc, franchement ça laisser pensé ses choses... Oh que oui, une fille penche sur le torse d'un jeune homme allongé sur le dos. Je suis désolée mais ça donne des idées extrêmement mal placé certes mais des idées quand même. Elle lui expliqua que la pommade allais piquer un peu et il paniqua légèrement ayant depuis un seuil de tolérance 0 a la douleur donc quasi inexistant

- Euh... Tu peut pas mettre autre chose ? Genre un truc qui pique pas ? Non ? Vraiment pas ...

Trop tard elle étalait la crème sur ses blessures surtout sur celle que son père avait fait avec une épée, il se mordit la lèvre, bon dieu ce que ça faisait mal, le pire c'était de repenser a tout ce que son père avait pu faire, a chaque fois qu'elle touchait une de ses marques, cicatrices, bleus ... Il revoyait son père le battre

- Finalement y'a du bon, ici, il ne peut plus m'atteindre .... SI sa ce trouve il mort en ce moment même ou il croupi en prison dans cette époque ...

Soudain elle lui parla de sa mère, il se figea un instant et ferma les yeux tristement, sa mère l'aimait et il l'aimait, mais elle ne faisait rien et il ne voulais pas qu'elle intervienne

- Elle es au courant... Elle a tenter par le passé de s'interposer entre moi et mon père, mais il ses vengés sur elle. Et je ne veut pas que ça recommence, je l'aime ma mère, mais elle aime mon père et ne le quitterais pour rien au monde et même si elle a des sourbessaut de courage pour me proteger elle ne le quittera pas. Et je ne veut pas lui demander de choisir entre lui et moi donc.... Tout ça pour dire qu'elle ne fait rien et que c'est mien ainsi ...

Il tendit un bras vers sa chevelure et lui caressa tendrement les cheveux, et du pouce la joue, dans une douceur infinie

- Je te jure d'être tolérant envers nos enfants et de ne pas devenir un monstre comme lui ...

Il lui fit un sourire qui se voulait tendre mais qui se transforma en grimace de douleur a cause de la pommade et de ses blessures réveillée

Avant d'étaler la pommade, Astoria examina chaque blessures. Quelques unes étaient cicatrisées, d'autres étaient trop béantes au goût d'Astoria. Elle soupira et prévenait alors Draco que cela risquait de faire un peu mal. Elle tenterai de trouver une solution, peut-être la potion de régénération sanguine, elle avait une certaine propriété assez efficace. A y réfléchir, elle savait qu'elle devrait se rendre dans la bibliothèque pour en savoir un peu plus, cette potion n'apparaît dans le cadre éducatif qu'en septième. Astoria ne l'avait donc pas encore apprise. Elle émit un léger grognement, jusqu’à ce qu'elle entende Draco lui demandé de mettre autre chose. Elle souriait alors taquinement et étala la pommade. Ainsi le grand Draco avait peur d'une petite pommade ?

Elle le vit grimacer alors, elle l'avait prévenu. C'était logique et si cela faisait mal, cela voulait dire que cela faisait déjà effet. Cela commençait à le soignée. C'était le prix à payer, Astoria était bien au courant. Draco dit alors qu'il trouvait bien d'être ici, son père ne pourrait pas l'atteindre. Astoria se redressait alors puis comme si de rien était continuait les soins tentant de cacher son désarroi. Draco avait souffert à cause de son père. Jamais Astoria n'avait connu cela de son père à elle. Elle tenta alors de lui parler de Mrs Malfoy, elle avait surement fait quelques choses pour Draco se souvenant de l'amour que celle-ci offrait à son fils. Lorsque Draco lui expliqua ce qu'il s'était passée, elle le regarda étonnée. Elle avait toujours cru que Mrs Malfoy et Mr Malfoy était fort proche. Qu'il s'aimait tout de même, mais c'est peut-être cet amour qui empêche Mrs Malfoy de réagir. Elle baissa les yeux reprennant les soins, ne sachant quoi dire.

Elle sentit la main de Draco dans ses cheveux. Il lui jura de ne pas se montrer comme son père vis-à-vis de leur enfants. Astoria en fut sûre et certaine. Elle croyait en Draco, c'est bien de lui qu'elle est tombée amoureuse et non d'un autre. Elle se doutait de l'amour qu'il pouvait donner à ses enfants, un jour ... Mais en attendant, ils étaient loin de ce jour. Astoria sourit tristement, commençant à relever légèrement Draco. Une fois redresser, elle lui mit alors un bandage autour de lui.

- Le jour où nous retourneront chez nous, tu viendra à la maison. Je ne veux pas que tu retourne chez ton père. Pour ta maman, je n'ai rien contre elle, je la comprend un peu. Quant à ton père ou encore ... Voldemort, je ne voudrait aucunement qu'ils te touchent. Je ne le permettrais pas. Et quoi que je fasses, ne joue pas les héros Draco. Je suis une Greengrass après tout !

Elle souriait alors à Draco et se remettait à sa tâche continuant de bander le torse de son ami. C'était certes un sourire triste, mais il était à la fois aimant. Elle ferait tout pour Draco. Elle ne voulait pas le revoir dans un tel état, faible ou encore blessé. Elle savait ce qu'elle devait faire, elle se dit que médicomage pourrait être un métier qui lui conviendrai au fond, elle aimait bien l'art des potions. Autant s'en essayé.

Il regarda la jeune femme bizarrement elle semblait brusquement triste. Et elle l'aida a se redresser, il en était capable lui même il fallait le dire mais se faire aidé par l'amour de sa vie ... il aimait bien ça lui. Il la regarda et resta stupéfait par rapport aux paroles de la jeune femmes

- Je d'accord pour venir vivre chez toi ... mais ... Tu veux pas que Vol....de..... ...Mo...rt, me touche, tu sais bien qu'il en a le droit je suis un Mangemort tu sais. Bien que je ne les pas souhaiter c'est vrais mais ... Je vais me faire tuer si je ne le retrouve pas.. Je pourrais devenir espion pour le compte de Potter tu pense pas ? Comme ça, a la fin de la guerre je suis assurer de ne pas me retrouver a Azcaban. Le Maitre pourra pas lire dans mes pensées je suis Occlumens grâce a ma tante Bellatrix ...

Il plongea son regard dans celui de la jeune femme lui montrant sa sincérité,

- Pour toi je veux devenir un homme meilleur, je veux que tu n'ai pas honte de porté mon nom lorsque nous nous marrions mon ange. Je t'aime. Et pour toi, je serais le héro, le super vilain, l'acolyte, et l'amour transi. Je peut être qui tu souhaitera mon amour ! Mais ne m'empêche pas de devenir Espion, c'est notre seule porte de sortie ...

Il la regarda et l'embrassa avec amour. Puis il s'appuya contre l'arbre et l'attira contre lui caressant les cheveux, oubliant sa douleur il voulais lui montré son amour rien de plus

Draco accepta de venir chez Astoria ce qui combla de soulagement la jeune fille. Au moins, comme cela, il ne courait aucun risque, elle était sûre que son père n'y verrait pas d'inconvénient si elle lui explique que c'est pour les "rapprocher". Bien qu'ils le soient déjà. Elle continua de mettre le bandage. Elle l'entendit alors s’efforcer à dire Voldemort. Elle le regarda étonnée et se rendit compte qu'elle l'avait dit elle aussi sans peur aucune, suivant sa lancée. Elle souriait alors, Draco venait de prouver qu'il n'était pas un peureux, mais elle se demandait s'il s'en rendait compte.

Travailler pour le compte de Potter ? C'était une idée. De toutes façons, c'était mieux. Pour éviter de tomber à Azkaban ? Astoria n'y survivrait peut-être pas, mais s'il devait un jour y aller, elle l'attendrait quitte à devenir vieille fille elle l'aimait plus que tout. Elle eu un frisson lorsqu'il parla de Bellatrix. Ainsi il était occlumens, c'était bien la veine d'Astoria, elle n'était pas légimens, mais cela l'aurait bien tenté pour savoir ce que Draco pensait dans le fond. Elle émit une petite moue boudante. Qui disparu vite lorsqu'il lui parla et qu'il lui dit alors tout l'amour qu'il pensait vis-à-vis de la jeune femme, cela la touchait énormément. Elle poussa du bout du doigt sur la plus petite plaie qu'elle avait soigné ce qui provoqua une petite grimace à Draco.

- Et bien, quel héro ! Non mais ! Je serais honoré de porter ton nom que cela soit maintenant ou dans trente ans, quel que soit l'époque. Je t'aime plus que tout. Et la seule chose que je désire, c'est que tu sois juste toi, juste Draco Malfoy, juste l'homme que j'aime. Je ne veux rien de plus que toi. Si tu veux devenir un espion et bien je te soutiendrai dans cette voie, si tu veux rester dans ta position actuelle je te soutiendrai, quoi que tu fasse je te soutiendrai.

Elle regarda Draco puis finis d'attacher la bande. Elle regarda alors Draco et plongea son regard noisette dans le regard orage de ce dernier. Elle lui sourit alors et ils s'embrassèrent. Elle se sentit alors attirée en avant, elle avait un peu peur des blessure de Draco que celle ci ne s'ouvre à nouveau. Elle fit alors tout doucement, essayant tant bien que mal de ne pas trop s'appuyer contre lui. Il lui caressa les cheveux.

- Je trouverai un autre remède plus puissant, j'ai pensé à la potion de régénération sanguine, mais j'irais dans la réserve pour avoir plus d'information sur une autre potion plus puissante. Et puis s'il le faut j'irais dans la réserve du professeur de potion, ton parrain à surement laissé quelques ingrédients qui peuvent être plus utiles que ceux que nous avons. Je serais rassurée que lorsque tu ira mieux Draco.

Il venait tout juste de lui dire ce qu'il aimerais faire durant la guerre,pour ne pas rester inactif, pour être sur de ne pas allé a Azcaban, mais surtout, pour ne pas qu'elle ai honte de lui, de porter son nom, comme sa mère pouvais avoir honte de temps en temps, oui il l'aimait tellement Astoria qu'il ferais tout pour elle, même rejoindre le rang des gentils.

Étrangement il se pris a s'imaginer, la chute de Voldemort en partit race aux informations qu'il aurais pu donner a Potter. Il s'imagina la tête de son père de retour a Azcaban mais cette fois ci pour de bon et jusqu'à sa mort, il s'imagina sa mère entrain de refaire sa vie avec son parrain, le petit blond n'était pas aveugle, Severus et Narcissa se dévoraient des yeux, et lorsque Lucius était emprisonné c'était son parrain pourtant pas patient ni tactile qui rassurait sa mère a coup de câlin en lui disant que lui, il pourrais subvenir a leurs besoins. Et finalement lorsque sa mère en pleur s'endormait dans ses bras, drago l'avais vu sourire; un vrais sourire tendre et amoureux. Son parrain avait fait tellement de sacrifice pour lui et sa mère il fallait bien l'avouer. Il savait aussi que sa mère tombait peu à peu amoureuse de Rogue, il savait aussi qu'il pourrais toujours racheter son parrain après la guerre, pour le meurtre de Dumby. C'était facile pour le sauver Rogue avait tué Dumbledore qui n'avais même pas cherché a se défendre … Oui après cette guerre lui et sa mère seraient ENFIN heureux ….

Un sourire presque béat fendit sur son visage écoutant qu'a moitié la déclaration se stoppant sur « juste l'homme que j'aime ». Il la regarda et s'extasia devant la beauté de la jeune femme

« Je t'aime aussi mon ange gardien, mais tu verras tu sera fier de moi, encore plus que ce que tu ne l'es déjà. Je vais devenir espion il faut que je parle a Potter, et je te sauverais toi, ma mère et mon parrain. Vous êtes les plus importants pour moi. Tu sais il ne faut pas que tu en veuille a ma mère, elle a aimé mon père et maintenant elle est trop manipulée par lui, elle pense qu'il est le seul a pouvoir l'aimé, la chérir et la « satisfaire » elle ne remarque même pas mon parrain, mais je sais, que sont coeur le réclame ça se sent. Une fois mon père emprisonné ou mieux tué. Tout le monde sera heureux ! »

Elle lui parla d'un remède pour ses blessures et lui expliqua son plan, il la regarda et réfléchit 5 bonne minutes

«  Si tu veux, je connais un passage secret menant a la réserve d'ingrédient de potion, c'est mon parrain qui me la montré, il l'utilisait déjà a son époque pour piquer dans la réserve de Slug. Je compte bien t'aider, tu m'as déjà tellement aider a mon tour maintenant, tu sais bien que les potions ces mon domaine »

Il l'attira un peu plus contre lui et lui murmura hésitant

« Au fait tu sais pas quoi ? J'ai crus voir un Blondinet dans ton année tu crois que …? »

Astoria avait beau regarder ses blessures, elle avait pensé à la potion de régénération sanguine. Maintenant, elle savait qu'il y avait d'autres potions, donc avec un peu de chance, elle la trouverai dans des livres. La bibliothèque ou encore la réserve contenait de nombreux livres inculquant l'art non négligeable des potions et puis se serait un très bon entraînement pour Astoria. Elle fut alors interrompue par la voix de Draco. Ce dernier la sortit de ses pensées. Elle le regarda alors plongeant ses prunelles émeraudes dans celles orage/acier de Draco. Il lui disait qu'elle serait fière de lui, mais elle l'était déjà. Endurer tout ce qu'il a pu, sans jamais broncher, sans jamais se plaindre, alors qu'a côté, il faisait son enfant pourri gâté qui se plaindrait sans cesse à son père. Sa mère, elle ne lui en portait aucun jugement, à croire ce que dit Draco l'amour de sa mère la rend aveugle. L'amour qu'elle a pour Draco la rend aussi aveugle de beaucoup de chose, elle s'en est rendue compte lorsqu'en troisième, elle avait écourté un jeune homme de la classe de Draco qui l'avait invité au bal de 1994 pour noël.

- Draco, je suis déjà fière de toi et tu ne t'en rend pas compte. Je t'aime tellement. Pour ta mère, je comprend tout à fait ce qu'elle peut ressentir. Je pense que par amour pour toi, j'aurais fait la même chose. Je pense que si tu me demanderai quelques choses maintenant, même quelques choses d'horrible, je serais capable de le faire. L'amour rend aveugle, et je l'ai bien remarqué. Et je suis déjà heureuse, rien que te voir sourire me rend heureuse. Il ne me faut rien de plus Draco.

Elle lui sourit alors les pommettes rougissantes. Astoria avait toujours été franche, mais également timide. Elle n'avait jamais mentit, surtout en ce qui concerne ses sentiments, pourtant Merlin sait qu'elle en est capable, mais Astoria sait qu'il y a des choses avec lesquels l'on ne peut pas jouer impunément. Et son amour pour Draco pourrait lui bruler les ailes, elle en est bien consciente. Si Draco se retrouvait dans une position de faiblesse par Voldemort, elle serait alors fort influençable et manipulable. Astoria lui parla alors des potions qu'elle pourrait essayé sur Draco. Normalement, la pommade qu'elle avait mis à Draco calmait déjà la douleur à l'heure actuelle. Elle caressa du bout du doigt le bandage en entendant la réponse de Draco. Il lui parla d'un passage secret pour accéder à la réserve. Et Astoria ne put nier au dire de sa soeur aînée que Draco était très doué en potion. Elle acquiesça d'un signe de tête comme pour faire comprendre de son accord. Elle se fit alors attiré contre Draco, elle ne pouvais le nier, elle aimait sa présence et être prise dans les bras du beau blond, elle l'aimait, et elle s'y sentait protégée. Il lui expliqua alors qu'il avait cru voir un blondinet dans l'année de la jeune femme. Celle ci émit un rire taquin puis répondit alors :

- Oh tu parles du charmant jeune homme. Le petit blond que je trouve plutôt pas mal. Oui, il me faisait penser à quelqu'un.... Tu n'aurais pas une idée par hasard ? Un beau blond pareil. Je ne sais même pas son nom de prénom, il me semble qu'il s'appelle ... Oui, Scorpius, je trouvais ce petit prénom charmant.

Elle ria alors plus taquinnement et regarda Draco dans les yeux comme pour l'ennuyée, gentiment cela dit.