Isidore comme les trois quart des Nott est brun, grand et filiforme. Une vrais brindille qui manquerait de s'envoler au moindre coup de vent. Pas des plus sportif (pour dire vrais il a horreur de ça), le futur père de Théodore Nott ressemble assez à son fils. Un regard pensif, un visage calme et un sourire apaisant il fait un drôle de contraste dans la maison Serpentard. Il affiche souvent une apparence taciturne dans la haute société de sang-pur, il faut dire que les réception l'ennuie autant que sa bouillonnante grande sœur, néanmoins il sait ce contenir et le montre moins. A Poudlard il fait figure de garçon solitaire, goûtant fort peu à l'univers de manipulation qui existe dans sa maison, calme et secret personne ne le connaît vraiment, à part Amalthée. Isidore apprécie les gens réfléchi, et préfère fuir les petits rois et petites reines égocentrique et mégalomane de sa maison. Indépendant et paisible, il ne cherche pas à tenir tête à ses parents comme sa sœur. En fait tant qu'on ne brusque pas sa tranquillité c'est une personne qui ne cherche pas les ennuis. Il peut se montrer très drôle à ses heures perdu, et si on le connaît bien. Isidore n'est cependant pas à Serpentard sans raison, c'est un jeune homme ambitieux qui rêve d'être à la tête de sa propre entreprise. Notez que son intelligence est exceptionnelle.

Isidore fut beaucoup plus facile à élevé que sa grande sœur. D'abord il n'avait pas un besoin permanent de tester les limites imposé par leur père, il cherchait plutôt la tranquillité et se contentait d'évoluer dans son coin. Il se rapprocha néanmoins rapidement de sa sœur avec qui il n'avait qu'un an d'écart. Isidore, en jeune garçon observateur et intelligent, comprit vite qu'il n'avait pas grande chose à obtenir en se comportant comme sa grande sœur. Il prit donc sur lui et, même si il devait passé pour quelqu'un de taciturne, tâchait de ne pas faire de vague. Isidore ne se fit jamais trop d'illusion quant à son avenir, il savait où il voulait aller, et savait sans donner les moyens. Côté sentiments il faisait confiance à sa mère pour lui trouver une fiancée qui ne serait pas une petite gourde aux allures de princesses. Proche de sa grande sœur, il la considère comme sa meilleure amie, même si il n'en donne pas trop l'impression. Il fut envoyé à Serpentard, mais ne cache pas qu'il aurait préféré Serdaigle. Il se tient éloigner de ses camarades de maisons, les trouvant agaçant et sans intérêt.